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15 septembre 2013

Langues berbères



Tamazight, en tifinagh : ⵜⴰⵎⴰⵣⵉⵖⵜ
Parlée au     Maroc, Algérie, Tunisie, Libye, Égypte, Mauritanie, Mali, Niger, Burkina Faso, Melilla, Europe (diaspora)
Nombre de locuteurs     plus de 45 millions
Typologie     isolante
Classification par famille

    -  langues afro-asiatiques
        -  langues berbères

Statut officiel
Langue officielle du Maroc, Algérie (nationale),  Mali (nationale), Niger (nationale)
Régi par     HCA (Algérie) IRCAM (Maroc) DNAFLA (en) (Mali)
Codes de langue
ISO 639-2     ber
ISO 639-5     ber
IETF     ber

Les langues berbères ou le berbère (nom local : ⵜⴰⵎⴰⵣⵉⵖⵜ, tamazight) est un ensemble des dialectes ou langues qui forment un groupe de langues chamito-sémitiques (ou langues afrasiennes) dérivées du "berbère ancien". Elles sont présentes depuis le Maroc jusqu’à l’Égypte, en passant par l’Algérie, la Tunisie, le Mali, le Niger et la Libye.

On dénombre une trentaine de variétés. Le berbère ou tamazight possède son propre système d'écriture, celui que les Touareg ont conservé : le tifinagh.

Il n'existe pas de chiffres officiels concernant le nombre de berbérophones, mais on estime le nombre de locuteurs à plus de 45 millions.

Répartition géographique

Localisation des variantes berbères en Afrique du Nord

         rifain (tarifit, nord marocain)
         braber (tamazight, centre marocain)
         chleuh (tachelhit, sud marocain)
         zenaga (tuddungiyya, sud-ouest mauritanien)
         chenoui (ha'chenwit, nord-ouest algérien)
         kabyle (taqbaylit, nord-est algérien)
         chaoui (tacawit, centre algérien)
         nafusi (tanfusit, nord-ouest libyen)
         autres berbères sahariens (wargla, mozabite, siwi, etc.)
         touareg (tamahaq, tamashek, tahaggart, tayart, tawellemmet, tetserret, région sahélienne transfrontalière)

Les langues berbères sont dispersées sur une aire géographique très vaste en Afrique du Nord.

780px-Berbères_en_Algérie_occidentale

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Berber_dialects_in_Morocco



Maroc

Carte linguistique du Maroc démontrant les espaces berbérophones.

Le Maroc est le principal état berbérophone et le seul ayant le berbère en tant que langue officielle ; on estime que les berbérophones y représentent entre 40 % et 50 % de la population.

Trois principaux dialectes du berbère sont parlés au Maroc :

    le tachelhit (ou chleuh), parlé par près de 8 millions de locuteurs, principalement dans le Haut Atlas, l'Anti-Atlas, le Souss et le nord du Sahara. C'est le dialecte berbère le plus parlé.
    le tamazight (ou tamazight du Maroc central), parlé par 4 à 5 millions de personnes, principalement dans le Haut et le Moyen Atlas.
    le tarifit (ou rifain), parlé par près de 3 millions de personnes, principalement dans le Rif.

On trouve également d'autres dialectes, parlés par un nombre restreint de locuteurs comme le sanhadji des Srayr (environ 40 000 locuteurs) et le ghomari (environ 10 000 locuteurs) parlé dans Rif et le chleuh de Figuig (quelques milliers de locuteurs).

D'autres parlers distincts sont parlés au Maroc mais sont généralement rattachés à des ensembles plus larges. Les parlers des Aït Seghrouchen et des Aït Warayn (en), parlers zénètes du Moyen-Atlas, sont généralement rattachés au tamazight avec lequel ils sont mutuellement intelligibles. Le parler des Aït Iznassen, parlé dans la région de Berkane, est quant à lui généralement rattaché au rifain, avec lequel il est mutuellement intelligible.

Le judéo-berbère, rattaché au tachelhit et parlé autrefois par certaines communautés juives, est pratiquement éteint au Maroc. Il est néanmoins encore parlé par près de 2 000 personnes en Israël.

Algérie

Ghardaïa une ville berbère mozabite capitale de la région du Mzab en Algérie
Carte linguistique Touggourt, Ouargla et Mzab.
Principales aires berbèrophones du Nord-Est de l'Algérie

L'Algérie compte entre 25 %1 et 30 %5 de berbérophones.

    Le chaoui (tacawit) est parlé par environ 1 million de personnes à l'est du pays, surtout dans les Aurès — wilayas de Batna, Khenchela, Oum-El-Bouaghi, Tébessa, Souk Ahras, Sétif partie extrême sud et dans une partie des wilayas de Guelma, et Biskra. Mentionnons aussi la présence de nombreuses communautés chaouis dans la wilaya de Annaba.

    Le kabyle (taqbaylit) avec 6 à 7 millions de locuteurs. Le kabyle est le deuxième parler berbère le plus parlé après le chleuh. Il est parlé dans les wilayas de Béjaïa, de Tizi-Ouzou et partiellement dans les wilayas de Bouira et de Boumerdès. Il existe également un petit nombre de dairas Kabyles relevant des wilayas de Sétif et Bordj-Bou-Arreridj. Enfin, il faut prendre en compte un nombre important de kabyles habitant d'autres grandes villes algériennes comme Alger ou Oran ainsi que parmi la diaspora algérienne.

    Le chenoui est présent dans la wilaya de Tipaza, la wilaya d'Ain Defla, et le littoral de la wilaya de Chlef à l'ouest d'Alger (180 000 locuteurs).

    Le mozabite, est parlé au Mzab, dans le sud : entre 150 000 et 200 000 locuteurs.

    Le touareg (c'est-à-dire les variantes tamasheq, tamahaq, tamajaq) est parlé dans le sud de l'Algérie, (parlé aussi dans le sud ouest de la Libye, au Mali, au Niger et au nord du Burkina Faso) le pays compte des effectifs touaregs plus modestes qui ne dépassent pas quelques dizaines de milliers de personnes. L’ensemble des populations touarègues avoisine donc le million d'individus.

    Le chelha est parlé à Beni Boussaid, un âarch berbère de 13 000 habitants situé au mont Asfour dans la wilaya de Tlemcen, à Chellala Dahrania, à Bousemghoune, et Assla des villages situés dans la région d'Elbayadh ainsi qu'à Beni Snous, une commune de la wilaya de Tlemcen, composée d'une douzaine de villages.

    Le tagargrent est parlé dans la région de Ouargla et de N'Goussa ainsi que Tougourt et sa région Righa.

    Le zénète est parlé dans le Gourara (wilaya d'Adrar) par environs (140 000 locuteurs).

    Le tamazight de l'Atlas blidéen parlé dans le massif du même nom qui s'étend sur la Mitidja. Il s'agit d'un parler intermediaire entre le kabyle à l'est et le chenoui à l'ouest.

Plusieurs parlers à travers l'Algérie , restes d'une berbèrophonie autrefois plus importante , ont été répertorié et pour certains étudié par des ethnologues au début du XIXe siècle, cependant ils furent notés comme étant en voie de disparition et il est ajourd'hui très dur de savoir s'ils sont définitivement éteints ;

Ilots berberophones localisés dans le nord ouest algérien.

    Les divers parlers de l'Ouarsenis (Matmata , Haouara etc) , dont certains seraient encore vivants.
    Le bettioua du Vieil Arzew (parler d'origine rifaine).
    Le chelha des Achaacha (region de Mostaganem).
    Le parler des Ben Hlima (Frenda au sud-est de Mascara).
    Le parler des environs d'El Eulma (Sétif).

Tunisie

En Tunisie, pays arabophone à 98 %, le chelha est parlé dans les villages semi-berbérophones du Sud — Chenini, Douiret, Matmata, Tamezret, Ghomrassen, etc. — ainsi que dans quelques villages de l'île de Djerba (surtout Guellala/Iqellalen, Ajim, Sedouikech/Azdyuch, Ouirsighen/Ursighen) et les régions de montagnes à Gafsa ou Sbeïtla.

Les mouvements berbères en Tunisie connaissent une montée importante après le 14 janvier 2011, plusieurs associations berbèrophones se constituant, et des marches qui demandent la reconnaissance de la langue et des droits culturels ayant lieu.

Mali et Niger

Le touareg, plus précisément les variantes tamasheq et tamajaq. Les Touaregs représentent environ 10 % de chacune des populations malienne et nigérienne.

Libye

Les Berbères représentent près de 10 % de la population libyenne, ils sont concentrés dans le nord-ouest du pays, dans les montagnes du Nefoussa et dans la ville côtière de Zouara. Dans la région de Yafran, le Ifren est parlé. Le Berbère est également parlé à Aoudjila et Sokna. Le Tamahaq est également parlé dans la région de Ghat par environ 17 000 personnes (Johnstone 1993).

Mauritanie

Le zenaga est parlé à Mederdra. Le tamasheq est également utilisé. Mais la plupart des non-arabophones de Mauritanie parlent les langues nigéro-congolaises.

Îles Canaries

Aux îles Canaries, se parlait jadis le guanche, aujourd'hui disparu. Une partie de la population actuelle de ces îles espagnoles se revendique berbère mais ne parle aucun dialecte de cette langue. Cette revendication berbère est notamment portée par le Congrès national canarien (CNC), parti indépendantiste canarien, branche politique du mouvement de libération des îles Canaries, le MPAIAC.

Égypte

Les Siwis parlent le seul dialecte berbère égyptien, le siwi, présent dans les environs de l'Oasis de Siwa. Cette oasis du nord-ouest de l'Égypte représente le plus oriental des groupes berbères.

Écriture

Alphabet Tifinagh.

Le berbère est noté, depuis le milieu du premier millénaire avant l'ère chrétienne, au moyen de l'alphabet tifinagh ou libyco-berbère. Il comporte des voyelles et des consonnes, dont il existe plusieurs variantes.

Depuis le début du XXe siècle, le berbère a surtout été écrit au moyen de l'alphabet latin ou de l'alphabet arabe, bien que les Touaregs continuent de l'utiliser couramment.

Cependant, des propositions de tifinagh standard ont vu le jour à partir de la fin du XXe siècle. L'Académie berbère, travailla sur une version, révisée ensuite par le professeur Salem Chaker de l'Inalco. L'Ircam officialisa une version de l'alphabet tifinagh en 2003.

La principale difficulté de la mise en place d'un alphabet standard réside dans la localisation progressive des langues berbères, qui a engendré une différenciation de certains phonèmes et lettres.

Statut

Pancarte de bienvenue multilingue de la commune d'Isser (Boumerdès, Algérie) transcrit en arabe, en berbère (tifinagh), et en français.

Le berbère est langue officielle dans un seul pays, le Maroc. Il est langue nationale en Algérie (depuis 2002), au Mali et au Niger.

Enseignement du Tamazight (Berbère)

En Algérie

À l'issue de la « Grève du cartable » (1994-1995) ayant paralysé le secteur éducatif en Kabylie, le gouvernement algérien s'est finalement décidé à introduire de façon très timide l'enseignement du tamazight dans 16 wilayas en 1995 pour environ 35 000 élèves. Quinze ans plus tard, l'enseignement du tamazight ne concerne plus qu'une dizaine de wilayas. Ce constat pourrait faire penser que l'enseignement du tamazight est en recul. Mais ce n'est pas le cas. Pour l'année 2010-2011, le HCA (Haut Commissariat à l'Amazighité) a noté que plus 240 000 élèves apprennent le tamazight en Algérie. L'enseignement de la langue s'est considérablement renforcé, surtout en Kabylie. Le tamazight a été introduit aux épreuves du baccalauréat et du brevet d'enseignement moyen (BEM). Son enseignement se généralise progressivement aux lycées, aux collèges et aux écoles primaires, en particulier au niveau des wilayas de Tizi Ouzou, Béjaïa et Bouira. Des manuels scolaires de tamazight ont été confectionnés.

Autre signe positif, l'amélioration de la qualité des enseignants grâce à l'introduction de cursus de langue amazighe au niveau des universités de Tizi Ouzou, Béjaia et Bouira. Aujourd'hui, la majorité des enseignants sont des universitaires diplômés. En 2011, on recense 1114 enseignants de tamazight dont 800 licenciés universitaires. En 1995, il n'y avait que 200 enseignants.

Quelques chiffres récents:

    4 396 bacheliers passent l'épreuve de Tamazight au Baccalauréat algérien de 2011. Ce nombre passe à 6 644 en 2013.
    En 2012, environ 28 400 collégiens (soit 3,66% du nombre total) ont passé l'épreuve de Tamazight au Brevet d’enseignement moyen (BEM)27 contre 12 800 élèves en 2007. A noter que nul ne peut composer en Tamazight au BEM s'il ne pas l'a étudié durant chacune des quatre années du collège.
    Pour l'année scolaire 2009/2010 : 193 226 élèves et 1 148 enseignants en langue amazighe (Wilaya de Tizi Ouzou : 93 947 élèves et 558 enseignants, Wilaya de Béjaïa : 47 162 apprenants et 313 enseignants, Wilaya de Bouira : 26 599 apprenants)
    Wilaya de Tizi Ouzou: 11 777 élèves passent l'épreuve de Tamazight au BEM 2013 sur les 15 946 candidats31 / Wilaya de Sétif: 697 élèves passent l'épreuve de Tamazight au BEM 2013 sur les 21 841 candidats32 / Wilaya de Bouira : 3 316 élèves passent l'épreuve de Tamazight au BEM 2011 sur les 11 492 inscrits / Wilaya de Béjaia : 1 588 élèves passent l'épreuve de Tamazight au BEM 2011 sur les 14 288 inscrits33 / Wilaya de Boumerdès : 363 élèves passent l'épreuve de Tamazight au BEM 2011 sur les 10 149 inscrits34. Ce nombre progresse à 975 élèves pour le BEM de 201235 / Wilaya de Batna: 200 candidats au BEM ont passé l'épreuve de Tamazight en 2013.

En Algérie, chaque région enseigne sa propre version du tamazight (c'est-à-dire, la version chaouie dans les Aurès, la version kabyle en Kabylie…). L'alphabet latin est largement plébiscité pour l'enseignement du tamazight mais il existe quelques exceptions comme à Tamanrasset où le tifinagh est parfois utilisé.

Au Maroc

Introduit en 2003 dans 317 écoles du pays, le tamazight est , en 2012, enseigné dans environ 4000 écoles par 14 000 professeurs. Environ 545 000 écoliers marocains (soit 15% des effectifs totaux) suivent des cours de tamazight.

L'apprentissage de la langue amazighe se limite au cycle d'enseignement primaire40. Il se fait à l'aide de l'alphabet tifinagh, ce qui ne fait pas consensus.

L'enseignement du tamazight est quasiment absent des écoles privées du pays.

En 2012, la ville de Midelt a été la première à généraliser l'enseignement du tamazight dans ses écoles.

En Libye

Interdit sous le régime de Mouammar Kadhafi, l'enseignement du tamazight est aujourd'hui au centre des revendications des populations berbérophones du pays45,46. À Tripoli, une école propose des cours gratuits de langue amazighe .

Dans les autres pays

Il est possible de retrouver l'enseignement du tamazight dans certains pays ou régions comprenant une forte communauté immigrée berbérophone à l'instar de la France, des Pays-Bas, de la Belgique, la Catalogne ou du Canada.
Les médias d'expression berbérophone

En Algérie

Dans un pays où l'audiovisuel reste le monopole de l'Etat, il existe quelques médias publics d'expression berbère.

Radio
La Chaîne II

En 1948, la radio de la France coloniale (qui émettait en français depuis 1925 et s'était dotée d'une station en arabe en 1940) lance une chaine de radio en kabyle. A l'indépendance, elle est maintenue par la Radio-Télévision Algérienne et devient une chaîne nationale incluant d'autres dialects du berbère tel que le chaoui ou le targui.

De nos jours, la Chaîne 2 est une radio nationale généraliste diffusant ses programmes en cinq variantes linguistiques amazighes (le kabyle principalement mais aussi le chenoui, le chaoui, le mozabite et le targui). En 2012, le Haut Commissariat à l’Amazighité a exprimé la nécéssité de développer les ressources humaines et matérielles de la radio chaine II pour sa mise à niveau avec la chaine I arabophone.

Entre novembre 2012 et février 2013, la Chaîne II s'est classée 5ème au niveau national en termes d'audience via streaming sur internet avec 1 047 459 auditeurs (soit 4,8% de l'audience totale de la Radio algérienne via internet) cumulant 146 630 heures d'écoute pour une durée moyenne de 5:40 d'écoute par internaute.

Les radios publiques locales

Les radios locales de Tizi Ouzou et Béjaia sont presque entièrement berbérophones. D'autres radios locales (Bouira, Khenchela, Batna, Tipaza, Oum El Bouaghi,...) proposent quelques programmes en langue amazighe.

Télévision

Le 18 mars 2009, une chaine de télévision publique en tamazight (A4 ou Algérie 4) a vu le jour en Algérie. D'abord diffusée seulement 6 heures par jour, elle a progressivement étendu ses horaires de diffusion.

Au Maroc

    Tamazight TV: lancée en 2010, c'est une chaine de télévision publique qui diffuse la majorité (environ 70%) de ses programmes en langue berbère.
    Radio Amazigh: station de radio publique et généraliste. En règle générale, les programmes du matin sont en tachelhit, ceux de l'après-midi en tamazight du Maroc central et ceux de la soirée en tarifit.
    Plusieurs radios locales privées proposent des émissions en berbère (Cap Radio, Radio Plus Agadir,...)
    L'agence de presse marocaine (MAP): elle offre une version en amazighe (tifinagh) de son site internet.


Bibliographie

    Revue annuelle Études et documents berbères (Paris/Aix-en-Provence, Coédition La boîte à Documents/Edisud).
    Langues et littératures berbères des origines à nos jours (Bibliographie internationale), Lamara Bougchiche, Ibis Press, Paris, 1997 (ISBN 978-2-910728-02-1).
    Linguistique berbère : Études de syntaxe et de diachronie, Salem Chaker, Peeters, Paris, 1995 (ISBN 978-2-87723-152-7).
    Grammaire berbère (rifain, zayane, chleuh, kabyle), Michel Quitout, éd. L'Harmattan, 1997 (ISBN 978-2-7384-6004-2).
    Initiation à l'écriture de la langue berbère, Larbi Rabdi, éd. L'Harmattan, 2001, 148 p.  (ISBN 978-2-7475-0904-6).
    Dictionnaire des racines berbères (formes attestées), Kamal Naït-Zerrad, 3 tomes : Tome I, 1998 (ISBN 978-90-429-0579-5) ; Tome II, 1999 (ISBN 978-90-429-0722-5) ; Tome III, 2002 (ISBN 978-90-429-1076-8).
    La langue berbère, André Basset, éd. L'Harmattan, 2004 (ISBN 978-2-7475-7278-1).
    Langue berbère. Introduction à la notation usuelle en caractères latins, Ramdane Achab, éd. Hoggar, Paris, 1998 (ISBN 978-2-912996-00-8).
    Dictionnaire tamazight - français (variante zayane du Maroc central), Miloud Taïfi, éd. L'Harmattan, 1992 (ISBN 978-2-906659-00-1).
    Dictionnaire des verbes Tachelhit-Français, Abdallah El Mountassir, éd. L'Harmattan, 2003 (ISBN ISBN 978-2-7475-3577-9).
    Manuel de conjugaison du tachelhit (langue berbère du Maroc), Abdallah Boumalk, éd. L'Harmattan, 2003 (ISBN 978-2-7475-5527-2).
    Grammaire moderne du kabyle, Kamal Naït-Zerrad, éd. Karthala, Paris, 2001 (ISBN 978-2-84586-172-5).
    Psycholinguistique touarègue (Interférences culturelles), Mohamed Aghali-Zakara, Inalco, Paris, 1992.
    Dialecte de l’Ahaggar (en 4 volumes), Charles de Foucauld, éd. L’Harmattan, Paris, réédition de 2005 (ISBN 978-2-7475-8173-8).
    Langue et pouvoir en Algérie, Mohammed Benrabah, éd. Séguier, 1999 (ISBN 978-2-84049-150-7).

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